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Récits or not récits ? Photos or not photos ?
N'hésitez pas à encourager les conteurs occasionnels - ça prend du temps

Vous aussi, lancez vous !

À+

zut j avais loupé une page entière de vos aventures . Je trouvais aussi qu il ne se passait pas grand chose .
Merci à tous de prendre le temps de nous raconter vos vols . Ca a l air extra , Même si rien qu à vous lire je me fais peur .
Vous devez être rincés par tous ces vols sous le soleil . Et en même temps tout aussi excités par.cos belles perf ! Vous assurez les Chtis !

Aujourd'hui on avait prévu l'aller retour St André Dormillouse.
Il s'est transformé en un AR au cheval blanc pour les plus courageux, les premiers et aux Antennes pour moi, Alain, Damien et Thomas qui n'avons pas aimé les conditions.
Décidément St André avec 15-17 de so, c'est vraiment chimique.
Une masse d'air incompréhensible tantôt poussé, tantôt contré par le vent dans des thermiques hachés. Tantôt ça monte pas, tantôt ça monte de partout en ligne droite. Vraiment space le vol...
Une vraie journée d'entraînement " à la tarte". Combien de temps tu tiens dans un vol Orangina ?
La palme revient à DJfly qui en prend 4h30...
Guillaume 2h avec une bonne rando pour descendre du Cheval blanc.
Tony et Farid 2 h aussi.
Alain, Thomas, Damien et moi une bonne heure.

Demain, un petit vent d'ouest nous emmènera pour un cross de 30km et peut-être + du Buc à Sisteron

bonjour à tous!

journée lessiveuse programme haute température!
2 h de vols dans les conditions qu'à décrit hugues ,c'est pas de la tarte! ou plutôt si!
je passe par liback et
je rejoins tony en haut d'une crête qui nous pwrmettrait en theorie et avec du gaz de raccrocher la chaîne menant à dormiouse
j'essaie de tenir en assurant la tenue de voile .je fais du soaring un moment avec tony au sommet sans pouvoir monter . un moment on y crois 2200 ..et puis on retombe au soaring presque comme à la comté! ( sauf que !)
tony repart part en vallee il perd du gaz ... un planeur passe devant nous et remonte plus à droite dans une combe ... je le suis ...
pas beaucoup mieux qu'avant mais le vent d'ouest haché tout les thermiques . je passe tout de même de l'autre côté en espérant pouvoir faire du soaring thermique pour rémincer la vallée de la haute bleone vers la chaîne salvatrice,pousse par l'ouest.
c'est pas bon et je décide alors de ne pas insister !
je ne veux pas prendre le rique de descendre la vallée avec un brise de vallée qui serait trop forte et trouve une petite vaché assez haute .

pb y que chemin de pierre .quand j'ouvre map il n'y a ...que des rivières et pas de route ... je dois desoumer pour enfin trouver une route en macadam!
bref 2h de mârche sous le cagnard avec le sac et ma patte folé !
mais des paysages fantastiques dans les gorges!








enfin le bas des éboulis que je finis ...sur le cul!
et la enfin la vue sur le petit village de Prads!

crevé et vide par ce petit vol de 34 km mais heureux !

Au déco du Chalvet Ouest, tout semble bon. Les premières extractions commencent. On décolle. Rapidement à 2200m.
Je transite avec Guillaume. Un peu plus haut jusqu'aux antennes dans devoir enrouler. Pas mal de voiles sont déjà bien haut et commencent la transition.

Et là c'est comme dans un assenceur qui monte et descend au gré de la programmation. Et ça dure... La masse d'air fait un peu ce qu'elle veut. On joue au yoyo.

Dessus, dessous, devant, derrière Hugues et Thomas, je ne suis pas confiant sur la suite du vol comme on l'avait prévu.

Retour vers St André où je vais enrouler avec un vautour pas très convaincu. C'est la première fois que je lui mets la pâtée.

Tout ça m'encourage à aller au pic de chamate que je ne connais pas.

À la radio Damien annonce sa plus belle fermeture avec bascule sur le dos. Hugues et Thomas iront à l'atterro.

Bien haut, ça va pour moi. Je rejoins la crête à peine au dessus. Je reprends vite du gaz et là, la plus belle pompe de mon existence.
Plus de 6 m/s pendant cinq minutes.

Je laisse sur place un planeur qui enroule autour de moi. J'enroule serré sans difficulté. Mais où ça va s'arrêter ?
On cogite quand on entends hurler le variol.
On imagine le marteau en haut, le cisaillement, le rouleau , etc. Bref, à 2800m, ça sent le plaf et les turbulences. Je le quitte en tenant ma voile et serrant les fesses. Transition sur le Pic où je vais encore y avoir droit, moins fort, mais plus haché. Tout seul à me faire branler là haut, je ne suis pas très courageux, ni motivé pour continuer seul. Je ne sais pas que DJfly passera par là une heure plus tard. Je passe en vallée où je suis par moment vent de cul ou face au vent. Du grand n'importe quoi.

Allez, il est temps pour moi d'aller poser à l'à mure rejoindre Tony et Farid.
Ah la vache, quel bonheur de retrouver le cagnard dans un si bel endroit.





Au final un triangle de 34 kms.

je voulais remerciez la team cross raz'motte,pour vos super récits et reportage photos, quel plaisir de vous lire;)
ps:un très grand respect pour vos vol de dingue ça fait rêver .

Bon eh oh il va falloir penser à rentrer pasque nous dans le nordddddd on en a marre de baver devant la lecture de vos cross non mais

Viens Mika On y vas ......... On a le droit au nuages nous aussi !!!!!!

une journée pas si simple
Devinez de quoi on parle ce vendredi matin.... De Parapente

Aujourd'hui c'est du NO 12-17 kmh environ. Il fait toujours beau, mais un peu cagnard quand même. On prend le temps pour décider où on pourra faire un vol de distance sans compliquer la récup qui s'avérera compliquée...

On se décide pour Le Buc du côté de sédéron. On laissera la camionnette à l'atterro et on fera trois équipes.

Le temps de tout sortir de la camionnette, on sera rejoint par 130 pilotes de la compétition. Mais eux, ils ne portent pas leur sac les veinards

Equipe des fainéants éclairés...
Hugues, Alain, Guillaume montent pendant 30 minutes sur un sentier bien vertical. Jusqu'à l'arbre à Jacques. Bien décidés de décoller à tiers pente.

Equipe des sportifs
DJfly, Farid, Damien, Thomas préfèrent assurer leur déco, quitte à transpirer à grosses gouttes pendant encore trente bonnes minutes, jusqu'au col.

Equipe du défi
Tony qui a besoin de dépenser son trop plein d'énergie et qui monte au sommet avec le reste de la compétition.

Qui va gagner ?
On ouvre les paris... Il n'est encore que midi. Pas encore de brise sur notre face Ouest.

14 h Tony n'en peut plus va servir d'ouvreur et tester la présence de thermiques. Il va plutôt tester l'absence de thermiques. Ça descend bien vite. Il tente de reposer ai niveau de l'équipe des sportifs, mais finit un peu plus bas. Il a beau être costaud, Son genou n'aura pas raison de la caillasse. Il remonte au niveau des autres et perf ce qui lui reste de salive dans le cagnard. On se croirait en arizona.

Equipe des sportifs...
Plus haut,mais ça suffit pas. C'est pétole dans leur creux. Il faut encore monter un peu... Pendant que nous, on se repose à 'l'ombre

La compétition décolle tour à tour sans se précipiter. Apparemment, ils ne sont pas pressés. Quelques compétiteurs n'arrivent pas à sortir et rejoignent l'atterro.

L'équipe des sportifs décollent. Mais dur dur... Tony va merdouille son vol et râle tout ce qu'il peut quand il poser à la camionnette.
Très gentiment, on lui propose de rejoindre l'équipe des faineants Il décline pour nous assurer la navette.

Il enlève sa veste avec son téléphone sur la camionnette et la...., Et là. ...

Eh Eh, un thermique est arrivé eh Eh...
Le gros thermique claque la porte sur le téléphone... Mais Zorro n'est pas arrivé... Téléphone broyé. Récup compromise. Merde.....

Toto fulmine.

Le reste des Sportifs se bat au mieux. Et ils finissent par s'extraire.

Guillaume trépigne dans l'équipe des faineants. Les premiers pétards arrivent. Je gonfle et ils m'aspirent à deux mètres pour me lâcher direct. Faut attendre que ça s'organise. Nouveau thermique qui arrive. Je décolle à mieux et après trois minutes repose d'où je suis parti. Je remets à l'ombre.

Guillaume sèche toujours au soleil sous sa veste fourrée. N'y tenant plus, il décolle et dans sa grande bonté, il sacrifie son vol pour rejoindre Tony. Une minute trente de vol montre en main. Génial, on a une Récup opérationnelle
Le malheur des uns fait le bonheur des autres...

Un compétiteur juste devant nous se fait une bonne demi aile au dessus de l'atterro.

Guillaume est en bas de la pente et voit les thermiques passer. Un thermique sérieux arrive pour m'extraire en quelques minutes.

Me voilà au plafond. J'attend Hugues qui s'y reprendra aussi en deux fois. Il me rejoint et c'est parti. Par malchance, mon GPS se bloque. Plus moyen de le redémarrer. Plus de vario par la même occasion. Je vais tout faire à l'ancienne.

Il va voler avec moi tout le temps. Super sympa. C'est un vrai vol de groupe dans du petit vario. Après une vingtaine de kms, on n'a plus beau oups de gaz. Il faudrait se refaire au dessus d'une face nord ouest sans récup possible. Je préviens Hugues que je Ne m'y risque pas. Pas assez de gaz. On va terminer à deux sur la face sud plus accueillante. Atterro dans une vallée étroite qui ne porte pas. A 50 m d'un cours d'eau. le Jabron.





On va piquer une tête en attendant la camionnette qui récupère plein de pilotes, mais aucun Razmotteux encore.